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 La guerre dans la Grèce antique

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MessageSujet: La guerre dans la Grèce antique   La guerre dans la Grèce antique Icon_minitime1Ven 5 Sep - 18:26

Armées et cités grecques: queen

Au développement des cités grecques, dès le 7 e siècle avant J.-C., répond un système militaire particulier : l'armée civique. Le citoyen doit porter les armes pour défendre le territoire de sa cité contre une invasion ennemie, pour préserver les récoltes, pour protéger femmes, enfants et esclaves.

Etre soldat devient dès lors un élément de la définition du citoyen et constitue un aspect fondamental de son éducation. Sparte fournit le meilleur exemple de cette idéologie. La cité spartiate était tendue vers ce seul but : sélectionner et former les meilleurs guerriers, et ceci dès la naissance et jusqu'à la vieillesse. Les vers du poète Tyrtée («Elégies», 10) illustrent cet état d'esprit :
<BLOCKQUOTE>



«Mourir au premier rang, lutter pour la patrie,
C'est le sort le plus beau digne d'un bon guerrier...
O garçons ! au combat luttez en rangs serrés,
Car la fuite est honteuse autant que la panique...
Les aînés, les anciens, dont les genoux sont raides,
N'allez pas vous enfuir et les abandonner ...
» </BLOCKQUOTE>



Alors que l'Iliade et l'Odyssée ont mis à l'honneur les duels ou s'affrontaient des héros individualisés, les citoyens des nouvelles cités grecques unissent désormais leurs efforts pour défendre en commun la patrie. Egaux politiquement car tous citoyens, ils sont aussi égaux au combat, disposant d'une armure identique et s'appuyant sur une tactique de groupe, la phalange.


Les hoplites:

Les citoyens-soldats grecs portent le nom d'hoplites. Ce sont des fantassins, pourvus d'un équipement de bronze comportant les éléments suivants :


  • un grand bouclier rond, d'environ 90 centimètres de diamètre. Il se tient à l'aide d'un brassard, glissé dans l'avant bras-gauche, et d'une poignée fixée au bord du bouclier. Le bouclier protège le soldat du menton au haut des jambes. Sur sa face externe, il porte un emblème (oiseau, animal, Gorgone, etc), à la fois marque distinctive du combattant et signe magique destiné à détourner le mauvais œil;
  • des jambières martelées dans des feuilles de bronze et adaptées sur mesure à la musculature des mollets de chaque soldat,
  • une cuirasse faite d'un plastron à l'avant et d'une plaque dorsale. Les deux parties de la cuirasse sont maintenues ensemble par des fermoirs de cuir. Au bas de la cuirasse est attachée parfois une plaque supplémentaire servant de protège-ventre. Sous la cuirasse, l'hoplite porte une chemise de tissu pour se protéger du frottement et de la chaleur. Cette chemise forme une petite "jupette" au bas de la cuirasse,
  • un casque à cimier couvrant l'avant et l'arrière de la tête, ainsi que les joues et l'arrête du nez,
  • une lance tenue dans la main droite et une épée courte portée à la ceinture.

    L'hoplite participait à double titre à la défense de sa cité : il payait lui-même son équipement, puis payait de sa personne en prenant part à la bataille.
    Les hoplites combattent dans une formation spécifique, la phalange hoplitique, et selon une tactique immuable : sur un terrain si possible ouvert et plat, les hoplites se disposent en ligne sur huit rangs de profondeur, puis à un signal donné, se mettent en marche contre l'ennemi, serrés les uns contre les autres, chacun protégeant son côté droit sous le bouclier du voisin. Des joueurs de flûte marquent la cadence. Les soldats avancent «pied contre pied, aigrette contre aigrette, casque contre casque, la poitrine pressant la poitrine» (Tyrtée, «Elégies», 11, vers 29-34). Cette tactique repose sur la solidarité entre les soldats et sur une préparation militaire poussée permettant l'exécution parfaite des manœuvres. Une fois les deux armées en contact, le combat s'engage au corps à corps. Le vainqueur était celui qui restait maître du terrain, le vaincu étant contraint à la fuite.
    Marathon (490 avant J.-C.), qui mit aux prises quelques centaines d'Athéniens et de Platéens contre un important détachement de l'armée perse, reste le symbole de la bataille hoplitique grecque. Les Grecs laissèrent 192 morts sur le terrain contre 6'400 Perses, selon l'historien antique Hérodote.
    Dans l'Athènes classique, la grande masse des citoyens aux revenus moyens - en majorité des propriétaires terriens - s'armait comme hoplite. Les citoyens très riches, peu nombreux, étaient pour leur part invités à armer et à commander un navire de guerre, tandis que les riches entraient dans la cavalerie. Quand aux pauvres, ils formaient la cohorte des rameurs sur les navires. Aux différentes classes censitaires athéniennes correspondaient donc des fonctions militaires différentes.


    Les armées hellénistiques :

    La phalange hoplitique subit des transformations sous l'impulsion du roi de Macédoine, Philippe II, qui impose sa domination en Grèce dès 338 avant J.-C.. Le fer fait son apparition dans l'armement hoplitique et, surtout, on adopte une nouvelle et grande pique, la sarisse (plus de 6 m de long). Efficace, elle est cependant bien difficile à manœuvrer sur un terrain accidenté. A côté de l'infanterie lourde, Philippe II développe des corps d'archers, de frondeurs ou de lanceurs de javelots, ainsi que des bataillons de cavalerie. L'armée et les techniques de combat se diversifient.
    Cette évolution se poursuit avec l'introduction de l'éléphant comme arme de guerre dès la fin du 4 e siècle, l'augmentation des corps de soldats légèrement armés (tels les peltastes, porteurs d'un bouclier de peau en forme de croissant, la pelté), l'usage de machines de guerre. Avec la constitution des royaumes hellénistiques, les armées changent de dimensions : les successeurs d'Alexandre alignent souvent des dizaines de milliers d'hommes au combat.
    La grande nouveauté de l'époque hellénistique réside surtout dans la disparition progressive des citoyens-soldats au profit de troupes mercenaires. C'est à des professionnels de la guerre, à des étrangers salariés, que l'on confie désormais les affaires militaires. Les causes de ce changement sont multiples : technicité des armées due à l'emploi d'armes de jet et de troupes légères, nouvelles stratégies telles la guerre de siège, longueur des campagnes militaires, distance accrue entre les cités grecques et les fronts de combat situés souvent au Proche Orient ou en Asie mineure, appauvrissement généralisé de certaines régions de la Grèce (Crète, Etolie, Arcadie) dont les habitants sont contraints de s'expatrier pour gagner leur vie comme soldats. Les théoriciens s'emparent de la réflexion sur la guerre, on voit apparaître les ingénieurs militaires. A partir d' Alexandre le Grand, la guerre devient progressivement une science technique et l'armée civique disparaît.


    (CONTINUE........) study




    queen


Dernière édition par stureplan le Ven 5 Sep - 20:23, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: La guerre dans la Grèce antique   La guerre dans la Grèce antique Icon_minitime1Ven 5 Sep - 18:58

queen La Guerre de Troie: (Part 2) study


Villes fortifiées, défendues, assiégées:

Les palais-forteresses mycéniens (Mycènes, Tyrinthe, Pylos) ont suscité l'admiration des Grecs eux-mêmes, qui attribuaient la construction de ces murailles gigantesques à des êtres légendaires, les Cyclopes. Ces citadelles pouvaient abriter des centaines de soldats en cas de siège et disposaient de réserves de nourriture et d'eau. La destruction de toutes ces imposantes forteresses vers 1200 avant J.-C. reste aujourd'hui encore une énigme.
Dès l'époque archaïque, plusieurs villes se protégèrent par des remparts. Une cité antique était constituée par un centre urbain (asty) et un territoire (chôra). Entourer de murailles le centre urbain garantissait à la population du territoire un refuge en cas de guerre, tandis que l'armée des hoplites sortait affronter l'ennemi en rase campagne. C'est exactement ce qui se passa à Athènes durant les dix premières années de la guerre du Péloponnèse (431-421 avant J.-C.). Athènes bénéficiait d'ailleurs d'un système de murailles particulièrement ingénieux : les "Longs Murs", construits entre 457 et 442 avant J.-C., protégeaient la route reliant la ville au port du Pirée, ce qui permettait de faire du commerce maritime et de ravitailler la population installée en ville, même si une armée ennemie occupait le territoire.
Dès le 4 e siècle avant J.-C., plusieurs cités cherchèrent à entourer de murailles non seulement leur centre urbain mais également leurs terres agricoles, pour assurer la survie de la population en cas de siège. L'une des enceintes grecques les plus remarquables défendait la ville de Syracuse, en Sicile, et son vaste territoire. Longue de 27 kilomètres, elle fut commencée au 4 e siècle par le tyran Denys et se poursuivit jusqu'en 212 avant J.-C..
Construire une muraille coûtait cher et nécessitait le recours à des experts, notamment pour les éléments techniques (tours, portes, poternes). Les cités y consacraient une part importante de leur budget militaire et, au besoin, n'hésitaient à faire appel à la générosité des citoyens qui savaient que leur sécurité dépendait de l'état des remparts.
Pendant l'époque archaïque et classique, les murailles constituent une protection sûre. Prendre d'assaut une ville fortifiée était alors une opération difficile, rarement couronnée de succès car les moyens disponibles étaient maigres : on ne pouvait compter que sur des échelles, des javelots enflammés lancés par-dessus les murailles ou des traîtres disposés à ouvrir les portes de la cité. La situation change à partir de la fin du 5 e siècle, avec l'invention de nouvelles tactiques comme la sape ou le bélier, et l'apparition de machines de siège sophistiquées telles la catapulte (du grec kata-peltè, "anti-bouclier") et la tour d'artillerie : l'avantage du siège revient désormais plus souvent aux attaquants qu'aux défenseurs de la cité.


La guerre navale:

C'est aux Corinthiens que l'on attribue l'invention du navire de guerre grec, la trière. La tradition fait remonter son usage au début du 7 e siècle avant J.-C. déjà. La trière se présente comme un bateau effilé à trois rangs de rameurs. En se basant sur les fondations des entrepôts navals grecs retrouvées au Pirée, on estime les dimensions d'une trière à 36 mètres sur 5. Le tirant d'eau ne dépassait pas un mètre. Légère et maniable, la trière était adaptée au paysage maritime grec, à ses îles, ses criques et ses passes étroites. En revanche, ne possédant pas de quille, la trière était peu stable et chavirait facilement par gros temps. Le fond plat facilitait le halage du bateau sur terre ferme, la proue tournée vers la mer.
L'équipage d'une trière comptait 170 rameurs, à quoi s'ajoutait un état-major pour définir la stratégie et la route à suivre, des marins pour assurer les manœuvres, enfin des hoplites en cas d'abordage ou de débarquement : au total environ 200 hommes. L'espace disponible pour chacun était réduit au minimum et l'inconfort extrême. Aucune réserve importante de vivres ne pouvait être embarquée. C'était donc un bateau conçu pour de courtes expéditions militaires, à proximité des côtes et à la belle saison.
A la différence du hoplite, le soldat-rameur n'avait pas besoin d'un équipement spécial. Sa rame lui était fournie par la cité. En revanche, ramer sur une trière, maintenir la cadence, éperonner et couler un navire ennemi exigeait un entraînement approfondi et une grande discipline. De telles responsabilités ne pouvaient être confiées qu'à des citoyens. C'est dans les rangs des rameurs que s'enrôlèrent les citoyens les plus pauvres, les thètes, ceux qui ne pouvaient pas s'offrir le coûteux équipement de l'hoplite. La participation des thètes à l'armée, par le biais de la flotte, eut des conséquences politiques : l'exemple d'Athènes montre qu'il existe un lien direct entre la possession d'une importante flotte militaire et la démocratie : investis d'un rôle militaire important, les citoyens pauvres ont réclamé des droits politiques supplémentaires.
A l'époque classique, Athènes s'illustre dans la guerre navale, en particulier lors de la bataille de Salamine (480 avant J.-C.), où les 1000 lourds bateaux de la flotte perse furent bloqués dans le détroit qui sépare l'île de Salamine du continent grec. Dès lors et jusqu'à la fin du 5 e siècle avant J.-C., la flotte athénienne domine les mers grecques. Deux désastres maritimes durant la Guerre du Péloponnèse, les Arginuses et Aigos-Potamos, en 405 et 404, portent atteinte à cette suprématie.
Les grandes puissances grecques du 4 e siècle avant J.-C. et de l'époque hellénistique suivent deux stratégies opposées en matière de guerre navale : l'une repose sur l'accroissement des flottes militaires et la construction de navires toujours plus gigantesques, à 4, 5, 6, 10 voire 40 rangs de rameurs, capables de transporter sur leur pont des pièces d'artillerie ; l'autre stratégie se base au contraire sur des navires très légers, les lemboi, maniables par une quinzaine de rameurs déjà. Les pirates, très actifs en mer Egée, possédaient ce type de bateaux. Ils furent parfois recrutés comme corsaires par des Etats hellénistiques.


Guerre et société:

Armée et guerre ont eu, en Grèce comme ailleurs, une influence sur de nombreux secteurs de la société. En retour, l'armée est un reflet de la société, de ses structures, de ses règles, de ses valeurs. La guerre et les armées entretenaient des rapports avec l'économie. Ce n'est que récemment que l'on s'est intéressé à la logistique des armées grecques (ravitaillement des troupes, payement de la solde, logement des soldats en campagne, etc). Ces aspects concrets se posaient de façon aiguë lors d'expéditions militaires lointaines. Le succès de l'expédition d'Alexandre, entre 331 et 323 avant J.-C., est certainement dû en bonne partie à la gestion habile des problèmes logistiques : on estime à 170'000 kg de vivres les besoins quotidiens de son armée.
La guerre elle-même était souvent justifiée par des mobiles économiques - l'acquisition de richesses - et débouchait sur une redistribution de ces richesses. Le butin de guerre se composait généralement de biens transportables et négociables (armes, pièces de monnaie, bijoux, mobilier, animaux et êtres humains). C'est aux chefs militaires que revenait la responsabilité de la répartition du butin entre les soldats et, de manière générale, la gestion des prises de guerre. Le butin qui offrait le meilleur "rendement" était constitué par les vaincus capturés : pour tirer profit d'un prisonnier de guerre, on pouvait soit le libérer contre rançon, soit le mettre en vente sur un marché d'esclaves. Les prix variaient considérablement en fonction de l'offre et de la demande, en fonction aussi des caractéristiques individuelles de chaque captif.
La religion était présente en Grèce dans toutes les activités humaines. Elle influençait donc aussi les armées et la conduite de la guerre. Certaines divinités "guerrières" (Mars, Athéna) étaient particulièrement honorées par les soldats. En cas de guerre et plus encore en cas de victoire, les armées civiques marquaient par des sacrifices et des offrandes leur attachement aux divinités protectrices de leur cité. L'irrationnel et la "superstition" jouaient un rôle déterminant dans la conduite des armées et dans la prise de décisions stratégiques, les Grecs attachant dans un contexte militaire une importance encore plus grande à des signes tels que phénomènes naturels, présages ou oracles.
Chaque société produit une armée à son image : au citoyen de l'époque classique répond le hoplite, aux vastes royaumes hellénistiques les mercenaires cosmopolites. Les grandes divisions sociales entre libres et non-libres, entre citoyens et esclaves, demeurent en vigueur à l'armée : chaque hoplite avait un valet de condition servile et en principe les esclaves ne prenaient pas part au combat. Toutefois, la guerre amenait des bouleversements dans les destinées individuelles et le statut juridique des individus : des esclaves pouvaient être affranchis s'ils avaient eu l'occasion de prouver leur fidélité et leur bravoure en temps de guerre ; un citoyen capturé à la guerre pouvait être vendu comme esclave par son vainqueur et conserver ce statut servile pour le restant de ses jours.
Enfin la guerre, avec son cortège de violences, permet de s'interroger sur la dimension "humanitaire" de la société grecque et sur ses codes moraux. Massacres ou supplices ont évidemment été pratiqués par les Grecs mais ils ne représentaient pas la règle en cas de conflit. Mieux encore, il existait - semble-t-il - en Grèce un code d'honneur de la guerre, code non écrit, mais connu de tous, qui définissait les comportements admissibles et les actes condamnables. Parmi ces usages de la guerre, relevons le respect de la parole donnée, le droit pour les vaincus de venir chercher leurs morts et de les enterrer, le respect des lieux de culte et des personnes investies d'une fonction sacrée, l'interdiction de mettre à mort de sang-froid un prisonnier. Même si un tel code de la guerre n'a pas toujours été respecté, ce signe d'intérêt pour un "droit des gens" est remarquable.

(CONTINUE...)



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MessageSujet: Re: La guerre dans la Grèce antique   La guerre dans la Grèce antique Icon_minitime1Dim 12 Oct - 19:17

Belle histoire sincèrement je ne lé pas lu HiHiHi
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MessageSujet: Re: La guerre dans la Grèce antique   La guerre dans la Grèce antique Icon_minitime1Ven 17 Oct - 8:25

sofyane a écrit:
Belle histoire sincèrement je ne lé pas lu HiHiHi

Merci!! lol!

J´espère que quand tu as un peut du temps, tu pourra la lire! study
Se tu connais quelques bonnes histoires, publiez ici!!

Allez! Bon jeux et mes amitiés!

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MessageSujet: Re: La guerre dans la Grèce antique   La guerre dans la Grèce antique Icon_minitime1Jeu 30 Oct - 14:07

lol!
@ + pathéon
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MessageSujet: Re: La guerre dans la Grèce antique   La guerre dans la Grèce antique Icon_minitime1Jeu 30 Oct - 14:08


<table cellSpacing=5 cellPadding=0 width="100%" border=0><tr><td width="100%">LES SOIRÉES DANSANTES...</TD></TR>
<tr><td width="100%">Un couple fut invité à une soirée d'halloween.

L'épouse s'occupa de trouver des costumes pour eux.

Mais le soir de l'halloween, elle fut incommodée par un terrible mal de tête.

Elle suggéra donc à son mari d'y aller seul.

Le mari enfila le costume et se rendit à la soirée.

L'épouse, après avoir dormi 1 heure , se réveilla reposée, son mal de tête avait disparu.

Comme son mari ne savait pas le costume qu'elle avait, elle pensa qu'il serait intéressant de se faufiler discrètement dans le groupe et d'observer le comportement de son mari.

Comment agit-il lorsqu'elle n'est pas à ses côtés?

Après s'être rendu à la soirée le premier, elle remarqua son mari .

Il se déplaçait tantôt avec une et tantôt avec une autre tout en profitant pour les caresser.

L'épouse vêtue d'un costume provoquant décida de séduire son mari.

En un rien de temps ,elle capta son attention.

Il consacra complètement ses énergies à sa nouvelle conquête .

Sans tarder, il lui fit de sérieuses avances.

Elle le laissa aller aussi loin qu'il le désira et accepta finalement sa proposition.

Ils allèrent et sautèrent sur le siège arrière de sa voiture , tous les deux eurent énormément de plaisir.

Ils rejoignirent ensuite le groupe à l'intérieur.

Juste avant de se démasquer à minuit , elle disparut discrètement.

Aussitôt rendu à la maison, elle se coucha.

En attendant le retour de son mari ,elle essaya de s'imaginer les explications qu'il lui donnerait pour expliquer son comportement.

Le mari arriva à la maison et entra dans la chambre à coucher pour s'informer de la condition de sa femme.

Elle lui demanda immédiatement: " As-tu eu du plaisir à la soirée? Qu'est-ce que tu as fait? Avec qui as-tu dansé? "

Il s'empressa de répondre: " Tu sais chérie, je n'ai pas beaucoup de plaisir dans une soirée dansante quand tu n'est pas avec moi.

Pour te dire la vérité, je n'ai pas dansé une seule fois. Quand je suis arrivé à la soirée, j'ai rencontré Robert, Gilles et quelques autres gars qui eux aussi étaient seuls. Ils m'ont demandé d'aller jouer aux cartes au sous-sol, j'ai accepté. J'ai eu pas mal de plaisir, mais le gars à qui j'avais prêter mon costume m'a dit qu'il avait eu une soirée du tonnerre et qu'il avait jamais eu autant de plaisir !
</TD></TR></TABLE>
@ + pathéon
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